« Qualisocial n’est pas sur le volet rose bonbon de la QVCT »

Quand elle est arrivée comme DRH chez Qualisocial mi-2023, Ségolène Lepvrier-Hannart « avait très peur de l’effet vitrine ». Une entreprise qui a pour slogan « l’humain est le futur, prenons-en soin » se doit d’être irréprochable sur le plan des ressources humaines. Elle n’a pas été déçue. « Un des premiers projets sur lequel j’ai travaillé a été d’accompagner deux collaboratrices qui voulaient mettre en place une charte sur le sexisme. J’ai trouvé ça génial ! », s’enthousiasme la DRH au micro de Laurent Brouat, dans ce nouvel épisode du podcast Prolongation(s) by hellowork.

En tant que cabinet de conseil dans les risques psychosociaux, Qualisocial est régulièrement en lien avec l’actualité sociale, comme dernièrement avec la liquidation de l’enseigne Jennyfer dont elle a accompagné la DRH et les salariés. « Je dis à mes chefs de projet qu’ils font l’un des métiers les plus durs car ils accompagnent des DRH en souffrance, qui sont confrontés par exemple à des situations de harcèlement, à des suicides, à des PSE. On n’est pas sur le volet rose bonbon de la QVCT : j’offre de l’accompagnement à des salariés et des DRH, je n’offre pas des abonnements à la gym ! », clame Ségolène Lepvrier-Hannart.

Dans cet épisode passionnant de 53 minutes, elle revient aussi sur l’autre casquette qu’elle cumule avec ses fonctions chez Qualisocial : celle de juge au conseil de prud’hommes de Nanterre. « J’ai voulu devenir juge prud’homale parce que le droit social me manquait énormément au quotidien dans ma carrière. Aujourd’hui, ça m’aide dans ma pratique en tant que DRH, pour suivre les grandes tendances et améliorer toujours ma façon de faire mon métier », souligne-t-elle.

Bonne écoute !