Emploi, travail… ce qui se dit sur Twitter

A la recherche d’un emploi

Ratus est elle aussi en attente. Et pour l’instant, ça ne donne rien. « On récolte ce que l’on sème, pourtant je sème pleins de CV et je récolte rien du tout ! », tweete-t-elle. Allez, on continue de postuler et on attend que ça prenne ! Jérémy Tilah en est seulement au début des festivités pourtant, il est déjà blasé : « si un jour tu penses faire la chose la plus chiante au monde, pense un peu à ceux qui font des CV et des lettres de motivations », lance-t-il sur Twitter. Et il y a aussi ceux qui semblent se donner du mal mais dont on doute. A l’image de Rajae qui a des problèmes de traduction « Comment on dit « fainéante » en anglais ? C’est pour mon CV ».
Ils ont décroché un entretien

Et puis, il y a les petits malins qui font de l’entretien d’embauche un jeu. Sab devait avoir bien réfléchi. Confiant devant le recruteur, le Twittos a pu placer « Radiohead dans un entretien d’embauche en anglais. They can be proud of me ». On le serait à moins !
L’actualité de l’emploi en Tweet

A ce jeu, chrisquach et son « Smic wars, que la force soit avec toi ! » s’en tire plutôt pas mal. Lea et son détournement du Crime était presque parfait en « Le Smic était presque parfait » a dû également bien s’amuser. Mais DC la talonne largement avec son « Cachez ce smic que je ne saurais voir ». Allez un dernier du même auteur : « Chérie, j’ai rétréci le Smic ». Dans un autre genre, Madame Lenvie ironise sur la déconvenue récente des Bleus : « 22 € en plus par mois pour le SMIC : L’État vous paie une soirée pizza pour regarder l’équipe de France insulter les supporters…#Merci ».
Si le coup du pouce du gouvernement a fait un temps le jeu des Twittos, ces derniers ont vite été refroidis par la demande de salaire faramineuse d’un grand patron. On retiendra le Tweet de Ruben David qui a défini l’anagramme SIDA ainsi à son patron : « Salaire Insuffisant Demande Augmentation ». Pas forcément la plus subtile des manières de demander une hausse de salaire.
Les twittos au travail

Et quand les collègues nous fatiguent, on se sent obligé de se confier. Mais attention à ne pas tout dire au premier venu. Le malheureux Paul doit en entendre un peu trop… « Olala mais pourquoi tu me racontes ta vie, je viens juste t’installer ton étiquette de bureau moi », tweete-t-il.
Au bureau, il y a aussi les gros lourdeaux. Les collègues de OST2.0 ne savent peut-être pas qu’il a des super pouvoirs avec ses « yeux rayon x (ou le fait que je vois des filles en culotte dans mon travail…) ». Espérons qu’il reste poli avec ses collègues…