Les chiffres clés du télétravail en 2023
Démographie, secteurs d’activité, préoccupations des candidats… Voici les chiffres clés du télétravail à connaître pour 2023.
55 %
Le pourcentage de candidats qui estiment important que le télétravail soit mentionné dès l’offre d’emploi selon une étude du site internet HelloWork menée en 2022, alors qu’il était indiqué par seulement 31 % des recruteurs. Une préoccupation qui arrive tout de même après le salaire (87 %), la culture d’entreprise (83 %), les avantages financiers (68 %) ou encore les étapes du process de recrutement (66 %).
43 %
La part de franciliens qui pratiquaient régulièrement le télétravail en 2022 selon une étude de l’Institut Paris Région. Si une grande majorité d’entre eux étaient cadres, 12 % étaient ouvriers.
6 sur 10
Ou 60%, le nombre de salariés de bureau qui souhaitent bénéficier du télétravail selon une étude menée par JLL en avril 2022 sur 4 000 employés dans dix pays.
65 %
Le pourcentage de femmes qui disposent d’un environnement matériel adapté au télétravail contre 71 % des hommes selon l’Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (Anact).
32,6 millions
C’est l’estimation du nombre d’Américains qui devraient travailler à distance d’ici à 2025 selon la plateforme Upwork, cela représenterait 22 % de la force de travail du pays.
24 à 35 ans
Le groupe démographique dans lequel un salarié à le plus de chance de travailler à distance selon un rapport du cabinet de conseil McKinsey cité par le magazine Forbes. Dans cette fourchette, ils seraient 39 % à télétravailler à temps complet et 25 % une partie de la semaine.
1 sur 5
La part, en moyenne, de salariés français ayant effectué au moins un jour de télétravail en 2022 selon l’Insee.
50 %
Toujours selon l’Insee, un Français sur deux exercent une profession pour laquelle le télétravail n’est pas possible. De nombreux métiers sont concernés selon Pôle emploi : l’industrie et plus particulièrement l’industrie manufacturière, les métiers du soins et de la santé, la plupart des métiers du BTP, le monde de la culture, du sport, l’artisanat ou encore l’agriculture.
A l’inverse, une étude de l’OCDE citée par l’établissement public indique que les métiers du secteur du numérique et des nouvelles technologies, de la communication, des services tertiaires, des services scientifiques et techniques ou encore du monde de la finance et de l’assurance sont plus propices au travail hybride.