Travailler plus pour picoler plus

C’est aussi la faute des collègues
Selon le Dr Sheree Gibb, qui a piloté cette étude, le fait que les individus qui travaillent beaucoup soient 1,8 à 3,3 fois plus nombreux à connaître des difficultés liées à la consommation d’alcool, comparé à ceux qui ne travaillent pas, s’explique par le stress des journées à rallonge, mais aussi en raison du contact prolongé avec les collègues. Les gros travailleurs passent en effet plus de temps avec les autres workaholics ce qui, selon les chercheur,s est susceptible de créer « une atmosphère sociable, accompagnée de consommation d’alcool ».
Au vu de ces résultats, le Dr Gibb recommande de cibler plus précisément les bourreaux de travail lors des prochaines campagnes de prévention de l’alcoolisme.
- Source AFP